Avis sur le livre

Merci à tous les lecteurs. Cette page nous permets de faire connaître vos avis sur le témoignage d'Elsa. Témoigner et aider d'autres. Tel est l'objectif du livre. Faite le découvrir autour de vous avec cette simple mention "J'ai lu ce livre et je pense qu'il peut être utile à d'autres. Alors je partage" Merci d'avance

9 octobre 2023 / Votre livre est très dense et on est tout de suite emporté. C’est un travail  analysant, d’une singulière puissance. L’écriture est très belle, élégante . C’est une expression d’un courage très rare parce que sans concession tout en restant mesuré. Vous relatez le cours de la vie…En toute première réaction, à partir notamment de votre titre, je réagis en tant que juriste sur les concepts de « foi » (Bonne ou  mauvaise) et,  en miroir inversé, de « raison » (mauvaise ou bonne)…mais c’est juste une expression spontanée à partir de la réalité « impressionniste » que vous donnez  à ressentir. Alain Fouquet

10 mars 2023 Le livre aurait pu s’appeler « il faut le vivre pour y croire » ou encore « la réalité dépasse la fiction ». Elsa Badou a vécu et vit encore une vie marquée par la manipulation d’une perverse narcissique, sa propre mère. Elle a vu son frère et son père s’effondrer sous les coups de boutoir de cette manipulatrice et a, elle-même, été à deux doigts d’y succomber. Ce qu’elle nous décrit dans ce livre, c’est sa vie depuis sa plus tendre enfance, l’ambiance qui l’a entouré, son vécu d’adulte (elle a aujourd’hui plus de 50 ans) et l’impact que tout cela a eu sur sa vie de femme. Non mariée à date, après de multiples déboires sentimentaux avec des manipulateurs et des perverses narcissiques, sans enfant, elle a eu d’autant plus de mérite d’avoir été capable de remonter du fond de l’eau. Comment en est-elle arrivé à s’en sortir ? Comme le poisson ne sait pas qu’il vit dans l’eau tant qu’il n’en est pas sorti, Elsa a eu le hasard et la chance de tomber sur diverses personnes et évènements. Je distingue bien le hasard qui nous tombe dessus et la chance qui se construit. Des rencontres tout d’abord, de parents, d’amis ou d’inconnus qui vous envoient des messages, à prendre ou à laisser, comme celui d’outils existants. Des occasions, saisies ou non, de s’informer, de se former à la PNL par exemple, d’aller rencontrer des thérapeutes spécialisés, de lire, de méditer, de se plonger dans une foi positive qui incite à agir et à ne pas céder au fatalisme. De bien s’entourer pour savoir bien rebondir après chaque coup du sort. Et par-dessus tout une volonté chevillée au corps pour accepter, lâcher prise, prendre du recul et repartir comme avec le building. Elle n’hésite pas à détailler sa démarche, les outils qui lui ont servi, ses réussites et ses échecs. Ce livre va au-delà du témoignage. Il nous montre que ce comportement est à l’œuvre autour de nous tant dans le milieu social que celui du professionnel. Tout un chacun, après avoir vu ce livre, peut se dire : « cela me rappelle… ». Cela nous conduit donc à nous interroger. Que ce soit à titre d’acteur, de témoin, de complice, d’observateur, … qu’avons-nous fait ou pas auprès des gens concernés ou lors de ces situations ? Elsa a d’autant plus de mérite à écrire ce témoignage que sa mère vit encore, que son frère vit aussi, qu’elle exerce une profession qui l’expose médiatiquement et qu’elle peut se fragiliser par ce biais. Et pourtant, pour elle qui tient un journal depuis des années, elle fait de l’écriture une thérapie et elle en ressort, au moins à mes yeux, à la fois fragile, comme tout être humain, et plus forte par sa détermination. Un livre qui va intéresser tous ceux qui ont ou ont eu le sentiment de vivre de telles situations. / Comité de lecteurs de la maison dédition Librinova

17 mars 24 / Mais quel travail! J’ai lu avec un vif intérêt votre livre. Quel courage pour ce gros travail ; J’en suis impressionnée et je mesure, en même temps, l’immensité de votre libération. Surprise au départ du titre  « Oserez-vous y croire? », je ne l’étais plus du tout après la lecture et je le trouve même très adapté. J’ai retrouvé avec plaisir les moments où nous avons cheminé ensemble qui semblent un si petit temps par rapport à la globalité de l’histoire. Cela m’a permis aussi de voir, amusée, la façon dont « vous me mettez en scène » et je vous remercie beaucoup de m’avoir permis ainsi d’entrevoir par votre écrit le travail de l’Esprit Saint toujours présent entre nous. Je suis heureuse de partager avec vous l’aboutissement de ce travail colossal de libération des griffes de l’emprise et je rends grâce à Dieu de l’immense cadeau que vous me faites à moi aussi. Je reste, bien sûr, disponible et disposée pour en échanger avec vous.Très belles fêtes de Pâques ! Anne

10 avril 2024 J’ai terminé ton livre et j’ai mesuré tous les combats que tu as dû mener dès ton plus jeune âge avec très certainement l’espoir d’un changement qui a bien souvent cédé la place aux souffrances et aux désillusions. Je suis très réservée désormais quant à l’usage de ce terme tellement il a été galvaudé, mais tu es une vraie résiliente. J’admire ta persévérance pour avoir mené ce « bébé » jusqu’à son terme … des années qui ont créé ces pages de patience, de rigueur et de ténacité mais qui ont été manifestement aussi très thérapeutiques. J’ai repensé à certains ouvrages que tu mentionnes que j’avais déjà lus et d’autres que j’aurai la curiosité de découvrir. Merci pour ce partage d’une partie de toi. Puisses-tu, avec la grâce de Dieu dont l’aide t’a été si précieuse continuer ta vie sur ce chemin de sagesse tout en ayant toujours à cœur de prendre soin de toi. Encore bravo / Clarisse

20 avril 2024 Je vous remercie sincèrement et très chaleureusement pour l’attention que vous avez eue de  m’envoyer un exemplaire de votre livre. Cette attention m’a touché. Je vous félicite pour votre travail particulièrement bien écrit,  tellement dense et courageux . Je suis évidemment honoré et , oserais-je dire, éperdu de fierté, de figurer dans l’épilogue de cette œuvre. Je vous souhaite le  beau destin littéraire que vous méritez et, au-delà, le meilleur pour vous, tous les jours..Alain Fouquet